À la recherche de bateaux remarquables
La FFCK va disposer avant les JO de 2024 d’un nouveau siège social à l’entrée du centre nautique olympique de Vaires-sur-Marne. Cette perspective ouvre la possibilité de créer un ou plusieurs espaces muséaux.
Ces espaces contiendront inévitablement des bateaux. Mais lesquels ? Depuis plusieurs années, la FFCK au hasard des opportunités a collecté quelques bateaux : périssoire, C1 et C2 bois des années 1940, K1 de course en ligne des années 1950.
Il serait intéressant de croiser cette démarche d’opportunité avec une méthode plus construite. Nous pourrions ainsi nous mettre à la recherche de ces bateaux remarquables. C’est pourquoi je propose, à tous ceux qui en ont l’envie, d’établir leur liste maximum des 12 bateaux qui ont marqué l’histoire des pratiques françaises à la pagaie. Votre liste peut donc comprendre entre 1 et 12 bateaux.
Cette liste englobe, pour la période de 1850 à nos jours, toutes les activités pratiquées à la pagaie sans exclusive. L’exercice est très libre afin d’ouvrir au maximum les possibles.
Si vous avez le temps vous pouvez joindre à votre réponse quelques éléments sur chaque bateau (motivation de votre choix, concepteur/constructeur, date de création, discipline, photos, etc.).
N’hésitez pas à transmettre cette demande à d’autres pagayeurs
Merci de répondre avant le 15 juin à l’adresse : hervepaimpol@gmail.com
Je transmettrai les réponses de chacun à tous ceux qui répondront, dans un premier temps sous forme anonyme.
Merci de votre collaboration.
Hervé Madoré
ARNOULD Claude
À la recherche des bateaux remarquables
Une fois n'est pas coutume : un message d'Hervé Madoré sans illustration alors que les photos sont à l'origine de ce blog et que chacuns d'eux en comporte au moins une.
Vous comprendrez que ma liste sera perso et que je ne veux pas influencer vos choix. MC
Bonjour,
La FFCK va disposer avant les JO de 2024 d’un nouveau siège social à l’entrée du centre nautique olympique de Vaires-sur-Marne. Cette perspective ouvre la possibilité de créer un ou plusieurs espaces muséaux.
Ces espaces contiendront inévitablement des bateaux. Mais lesquels ? Depuis plusieurs années, la FFCK au hasard des opportunités a collecté quelques bateaux : périssoire, C1 et C2 bois des années 1940, K1 de course en ligne des années 1950.
Il serait intéressant de croiser cette démarche d’opportunité avec une méthode plus construite. Nous pourrions ainsi nous mettre à la recherche de ces bateaux remarquables. C’est pourquoi je propose, à tous ceux qui en ont l’envie, d’établir leur liste maximum des 12 bateaux qui ont marqué l’histoire des pratiques françaises à la pagaie. Votre liste peut donc comprendre entre 1 et 12 bateaux.
Cette liste englobe, pour la période de 1850 à nos jours, toutes les activités pratiquées à la pagaie sans exclusive. L’exercice est très libre afin d’ouvrir au maximum les possibles.
Si vous avez le temps vous pouvez joindre à votre réponse quelques éléments sur chaque bateau (motivation de votre choix, concepteur/constructeur, date de création, discipline, photos, etc.).
N’hésitez pas à transmettre cette demande à d’autres pagayeurs
Merci de répondre avant le 15 juin à l’adresse : hervepaimpol@gmail.com
Je transmettrai les réponses de chacun à tous ceux qui répondront, dans un premier temps sous forme anonyme.
Merci de votre collaboration.
Hervé Madoré
Georges TURLIER et Jean LAUDET
Georges Turlier et Jean Laudet ont remporté l’épreuve du canoë biplace 10 000 mètres aux Jeux olympiques d’Helsinki en 1952.
L’histoire de cet exploit est méconnue. J’ai pris beaucoup de plaisir à entendre Georges et Jean et à rassembler des documents et des témoignages pour raconter leur parcours qui s’inscrit dans l’immédiat après-guerre au sein d’une fédération balbutiante mais efficace.
Georges Turlier et Jean Laudet se souviennent avec acuité des joies, des sensations, des injustices, des stratégies, des frustrations et conservent, avec modestie, la fierté du travail bien fait.
Ce récit n’est pas un « vieux machin » pour nostalgique d’un glorieux passé, elle raconte des parcours qui méritent l’attention de ceux qui veulent agir aujourd’hui pour développer les sports de pagaie. Malgré les survêtements démodés et les bateaux bois, les pagayeurs peuvent toujours y puiser des ressources utiles.
Si vous avez envie de vous procurer cette brochure de 32 pages, écrivez-moi (hervepaimpol@gmail.com) ou passez la prendre à Paimpol.
Hervé Madoré
de gauche à droite André Maugey G TURLIER J LAUDET et Éric Collin
Première édition mars 2023 d'une brochure passionnante de 32 pages
HAMMACHE Nasser
Tony ESTANGUET à l'Université de Besançon
À la suite de la désignation de Paris comme ville hôte des Jeux de 2024, la Semaine Olympique et Paralympique est l’occasion, une semaine par an, pour le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et pour Paris 2024 de promouvoir la pratique sportive, les valeurs citoyennes et sportives auprès des jeunes. Cette 7ème édition porte sur le thème de l’inclusion. L’objectif principal est de mobiliser 1 million d’élèves pour mettre plus de sport dans leur quotidien.
Dans ce cadre, l’Université de Franche-Comté recevait, ce mercredi, Tony Estanguet – triple champion olympique et président du Comité d’organisation de Paris 2024 – à l’UFR STAPS de Besançon. Le champion a pu rappeler que le sport devait être un vecteur d’inclusion. Les Jeux de Paris 2024 sont les premiers jeux strictement paritaires. Par ailleurs, il a souligné le fait que 95% des infrastructures sont existantes. Cet événement fut également l’occasion, pour les étudiants, de poser leurs questions à Tony Estanguet.
Pourquoi pas rêver ? ...
Un parcours de 6 kilomètres sur la Seine. Entre 140 et 170 (171 ?) bateaux seront engagés pour transporter 10 000 athlètes lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de 2024 à Paris, a affirmé, jeudi 30 mars, le préfet de région Marc Guillaume. Les embarcations partiront de l'est parisien, à la limite d'Ivry, direction le Trocadéro.
Entre le souhait d'offrir au monde un événement hors norme et l'impératif de sécurité, la préparation de la parade s'avère un casse-tête pour les organisateurs. Comme le nombre de spectateurs (de 400.000 à 600.000), le nombre de bateaux fait lui aussi l'objet de discussions. "Quand le bateau grec", premier selon la tradition olympique, "arrivera au Trocadéro, le bateau français qui partira en dernier ne sera sans doute pas encore parti", a illustré Marc Guillaume, soulignant le "défi logistique pour arriver à faire en sorte que les 10.000 athlètes puissent, avec les pontons, monter sur tous ces bateaux dans l'est parisien".
Sur les chantiers en cours pour les Jeux, ceux liés à la dépollution de la Seine seront "menés à bien", a par ailleurs réaffirmé Marc Guillaume. Dépollué "à 2% il y a deux ans et demi", le fleuve atteindra cet été un taux de dépollution "de 60-65% qui permettront aux 'test events' de se tenir", l'objectif étant "un taux de 75%" pour les JO.
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